J'ai regardé ce film aujourd'hui (Après l'avoir trouvé, par hasard, chez Gilbert). Et sans que cela soit un choix, il rejoint les lectures (et donc les interrogations et les réflexions) que j'ai actuellement sur le rapport d'une société poste-coloniale à sa culture après toutes les aliénation qu'elle (a) subi(es)(t).
L'origine de ces interrogations est l'impuissance que on peut éprouver devant ce qui arrive chez soi. Que faire? Il y a quelques mois, après une forte déception politique, j'aurais répondu par l'engagement Artistique. Mais on finit par se rendre compte que l'art (et en particulier l'écriture) ne change pas la condition quotidienne d'un peuple surtout quand celui-ci a faim. Puis, d'autres interrogation en découlent. Pourquoi écrire? Sur quoi écrire? Cet entretien propose des pistes de réponses.
J'ai envie de dire que Nacer Khemiri a raison. Mais, je me souviens de cette phrase "Quand quelqu'un te dit que tu as raison, comprend, dans la mesure de ton ego, qu'il est uniquement d'accord avec toi.". Juste pour dire qu'il faut toujours garder une part du doute.
J'en profite pour dire "de rien" à Ma-Soupe qui me confirme quelque part que la beauté n'a pas de frontière... et lui dire "Merci", à mon tour, pour cette intéressante découverte.
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